Chacun de nous a une quête existentielle commune : le Bonheur !
C’est l’histoire de Véritable, personnage symbolique qui anime ce bouquin grâce à son évolution, son chemin de vie vers l’inconnu qui, suivant son existence, essaye de résoudre le mystère du grand œuvre par la voie royale. Ainsi rechercher la fameuse pierre philosophale.
Même si je n’ai pas été sensible, ni à l’histoire, ni à la plume, je tiens quand même à remercier l’auteur de m’avoir proposé ce partenariat. C’était une première avec ce thème et je ne renouvèlerai pas l’expérience de sitôt …
En y réfléchissant une fois la nouvelle refermée, l’histoire n’est pas bien compliquée (même si je ne suis pas sur de pouvoir vous la résumer correctement ^^). Je dirais simplement que le thème ne me touche pas ! De plus, je me suis sentie perdue dès les premières lignes de la préface ; et ce sentiment d’incompréhension ne m’a pas quitté de toute ma lecture. Autant vous dire que je n’ai pas du tout accroché, que ce soit à l’histoire que j’ai trouvée trop rapide, aux personnages qui sont juste survolés, ou au style d’écriture quelque peu déroutant …
Toute cette nouvelle repose sur 2 personnages : Véritable, l’élève, et Abel, le maître ! Malheureusement, l’histoire passe tellement vite que leurs personnalités ne sont pas développées et qu’au final, on ne sait pas qui ils sont …
Le style d’écriture est également très … spécial ! L’auteur a une utilisation très personnelle de la syntaxe grammaticale qui fait que les 50 pages qui composent cette nouvelle m’ont semblé une éternité. Non seulement les phrases sont longues mais elles forment à elles toutes seules des paragraphes que j’ai relus, encore et encore et encore, sans toutefois en comprendre le sens … Je vous mets un exemple et, franchement, n’hésitez pas à me dire en commentaire si c’est moi qui ai de grosses lacunes en français ou si cette phrase n’est pas ce qu’il y a de plus correct …
Véritable n’entendait plus cette voix comme un passé actif mais plutôt comme un présent rébarbatif donc son ange qu’il aimait l’appelait ainsi était belle et bien présent peut-être dans une dimension autre que la sienne.
En bref, je ressors de cette lecture en me disant « Non mais peut-être que je suis juste un peu bête et limitée intellectuellement (humour ! Quoique ?! … ^^) ».
Pour reprendre les mots de l’auteur, les « réalités spirituelles philosophiques » ne sont décidément pas faites pour moi !